Dans cette note du CSEN (Conseil Scientifique de l'Education Nationale), vous pourrez lire que celui-ci "ne voit pas de raison impérieuse d’interdire la pleine conscience et d’autres
pratiques de bien-être dans l’éducation nationale".
Je me réjouis de cette bonne nouvelle, qui vient mettre un terme aux rebondissements de l'année dernière et replace le débat au bon endroit: évaluer scientifiquement les bienfaits de cette pratique, en s'assurant de la juste formation des intervenants.
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